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Je suis de retour !

par Carioline

publié dans Virgule le Fripon


Eh ouiiiii, finie la drague, je suis de retour en Bourgogne après 5 semaines en Touraine, chez Tata Déphouine et Tonton Franck. Quant à dire que j'ai rempli ma mission auprès de Miss Biscotte, c'est pôs gagné, mais au moins, elle et moi, on s'est super bien entendus... Y'a juste qu'elle ne me câlinait pas autant que ma copine Ravioli, qui elle, me fait la toilette des z'oeils et des n'oreilles... Les Bipèdes iront peut-être faire une prise de sang à ma chérie d'ici quelques semaines, pour savoir si elle a des bébés dans le ventre, sinon, ce ne sera que partie remise... Z'osent pas trop y croire pour ne pas être déçu si ça n'avait pas marché... Mais y croisent les doigts tout de même ! ! !

Pour l'échange des otages, euh non, des toutous, les Bipèdes s'étaient donné rendez-vous chez Béatrice, la maîtresse de Feu Harley, le grand-père d'Anouk, Biscotte, Aïo, Acadie, Alf et Abruzzes, le papa de Chaussettes, quoi. Pas réellement à mi-chemin entre la Touraine et la Bourgogne, les Tourangeaux ont eu 3/4 de route de plus que Maîcresse, mais au moins, ça a leur a permis de revoir la tite famille de Patrick et Béatrice, qu'ils n'avaient pas revus depuis les premiers mois de Fraggle (la soeur de Chaussettes).



Me laisse pas toute seule !

Carioline est arrivée avec un petit 1/4 d'heure d'avance avec Anouk. Comme le portail était ouvert, elle a du attacher la grande angoissée de la vie à la 405. Ce qui n'a pas été du tout de son goût. Ouhouhouhouhouh, on m'a lâchement abandonnée ! ! ! Faisez quelque chose ! ! ! Et dire que pendant ce temps-là, Carioline faisait rien que photographier Beethoven, le chien de la maison, brave croisé Bouvier bernois/Border collie au passé douloureux. Heureusement, le calvaire de la blanche Anouk n'a pas duré très longtemps, car les Tourangeaux sont arrivés rapidement après, avec votre serviteur dans le coffre du Picasso.


Danahé et son toutou.

Là, les Bipèdes sont tombés bien bas. Leur toutou respectif leur ont fait des retrouvailles dignes de ce nom, hi hi hi !  Tu parles ! Anouk n'a pas reconnu tout de suite sa maîtresse qui n'avait qu'une hâte, retrouver sa toutoune. Comme Delphine a changé de coupe, Anouk lui a jappé dessus, en reculant... Quant à moi, j'ai regardé ma Maîcresse du coin de l'oeil, battu vaguement de la queue... et me suis empressé d'aller faire le tour du jardin pour marquer mon territoire par-dessus les balises de Beethoven, le toutou de la maison ! Ca vous en bouche un coin, les Bipèdes, hein ? ? ? A vrai dire, par la suite aussi, au début, Anouk s'est montrée plus proche de Carioline et moi de la tribu tourangelle. Mais on a eu quand même eu tôt fait de reprendre nos repères... "Anouk, c'est pôs ta voiture, tu ne repars pas avec Caroline"... Tout le monde peut se tromper !


Ca, c'est bien après notre arrivée, eh eh eh !

Après ces retrouvailles dans le jardin, les Bipèdes ont rejoint la maison pour une séance vieilles photos. Maîcresse a ainsi pu voir Harley dans sa jeunesse... Avec de grandes ressemblances avec son cher Chaussettes disparu... Pendant ce temps-là, Beethoven, resquillait des caresses et des biscuits à tout va auprès des n'enfants... et des grands ! Tit loulou.



Il a tapé dans l'oeil de Franck, qui l'a trouvé joli.




Et depuis la venue de Maîcresse la veille du concours de Toucy, il avait bien progressé côté comportement, et c'était montré moins stressé que la fois passé. Mais pas assez pour gagner le droit de venir jouer avec Anouk et moi dans le jardin... Enfin, Anouk, elle était plutôt collée à la porte de la maison, en fait ! ! !


Y vient pas jouer, le copain ?

La séance nostalgie terminée, les potins des 10 dernières années un peu exposés, Béatrice a proposé d'aller ramassé noix et noisettes dans le fond du jardin. Beethoven est resté avec Danahé à la maison, Avril faisait ses devoirs depuis longtemps, mais le reste des Bipèdes est sorti s'aérer...


Maëlo, tu continues ton Little Kevin (précoce, le gamin) ou tu viens ramasser des noix avec nous ?



... l'est venu avec nous !

Ben, je peux vous dire qu'il n'y avait pas que les Deux-Pattes qui s'activaient à chercher les machins à coquille !


C'est qui ce gamin brun à lunettes ?



Elouan, pas la peine de gauler cet arbre pour avoir des noix, c'est un cerisier !

Maîcresse ne sait pas comment est venue cette lubie, mais j'ai passé une bonne partie de leur "cueillette" la truffe au sol, à la recherche des noix, que je mangeais allègrement, telles qu'elles.

 
Les noix, c'est crop bon ! (Une pensée émue pour Thelma, qu'on a vu avec une langue plus retournée que la mienne, par le passé ! ! ! )


Pourtant Carioline ne se souvient pas m'en avoir fait goûter un jour, mais visiblement, j'adore ça !


Rêve pas, Franck, j'les garde pour moi, celles que je trouve !

Bon, avec Béatrice, les Bipèdes se disaient que c'était peut-être pas top de manger la coquille avec, que je risquais peut-être une perforation d'estomac, mais j'ai pas vraiment tenu compte de leurs remontrances ! Maîcresse n'en revenait pas !


En vrai gourmet, je déguste mes noix couché ! ! !



Après l'effort, le réconfort des troupes !



Touchez pas à mon butin !

La fin de l'après-midi approchant, il était presque temps de prendre congé des amis. Partage du butin de guerre entre les Tourangeaux et la Bourguignonne, aux revoirs à rallonge, programmation des GeuPeuSeu et chacun est parti dans sa direction... avec son chien respectif !



Aux dernières nouvelles, les Tourangeaux étaient bien rendus chez eux !

A bintôt,


Virgule, le 17/10/09

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